photo Sôzô no tabi : Voyage imaginaire au Japon du XIXè siècle

Sôzô no tabi : Voyage imaginaire au Japon du XIXè siècle

Exposition

BERCK, 62600

Du 21/09/2021 au 06/11/2021

À travers cette exposition qui regroupe plusieurs estampes (Ukiyo-e), des Kakemono (rouleaux peints) ainsi que des ustensiles nécessaires pour la cérémonie du thé, Takénori Némoto, directeur artistique de Musica Nigella originaire du Pays du Soleil-Levant, propose un voyage imaginaire vers la fin de l’époque Edo, qui était aussi celle de la “démocratisation” de l’art. À côté des Kakemono, peintures sur soie ou papier, on voit apparaître une nouvelle technique de l’impression utilisée pour fabriquer en série des estampes Ukiyo-e, équivalent des cartes postales de nos jours, gravées sur bois en grand nombre pour être vendues à bas prix au public de théâtre Kabuki et aux touristes de passage comme souvenirs. Sa valeur artistique était longtemps considérée comme négligeable par les Japonais eux-mêmes, jusqu’au jour où les occidentaux les découvrirent, coincés entre les porcelaines d’Imari. En effet, ces estampes étaient alors utilisées comme pare-chocs pour l’envoi des objets fragiles vers l’Occident, où la deuxième vague du japonisme prend son essor. Entrée libre aux heures d'ouverture - https://mediatheques.ca2bm.fr/mediatheques/2021-cj-02-japon-hier-japon-aujourdhui.aspx

photo Sôzô no tabi : Voyage imaginaire au Japon du XIXè siècle

Sôzô no tabi : Voyage imaginaire au Japon du XIXè siècle

Bien-être, Peinture

Berck 62600

Du 21/09/2021 au 06/11/2021

À travers cette exposition qui regroupe plusieurs estampes (Ukiyo-e), des Kakemono (rouleaux peints) ainsi que des ustensiles nécessaires pour la cérémonie du thé, Takénori Némoto, directeur artistique de Musica Nigella originaire du Pays du Soleil-Levant, propose un voyage imaginaire vers la fin de l’époque Edo, qui était aussi celle de la “démocratisation” de l’art. À côté des Kakemono, peintures sur soie ou papier, on voit apparaître une nouvelle technique de l’impression utilisée pour fabriquer en série des estampes Ukiyo-e, équivalent des cartes postales de nos jours, gravées sur bois en grand nombre pour être vendues à bas prix au public de théâtre Kabuki et aux touristes de passage comme souvenirs. Sa valeur artistique était longtemps considérée comme négligeable par les Japonais eux-mêmes, jusqu’au jour où les occidentaux les découvrirent, coincés entre les porcelaines d’Imari. En effet, ces estampes étaient alors utilisées comme pare-chocs pour l’envoi des objets fragiles vers l’Occident, où la deuxième vague du japonisme prend son essor. Entrée libre aux heures d'ouverture - https://mediatheques.ca2bm.fr/mediatheques/2021-cj-02-japon-hier-japon-aujourdhui.aspx